INVESTIR DANS UN GFV


Investir dans un GFV, c’est réaliser un investissement plaisir unique réservant des avantages qu’aucune autre forme de placement à long terme n’est à même d’offrir simultanément.

La fiscalité avantageuse des GFV

Le statut juridique des GFV permet aux porteurs de parts de bénéficier d’avantages fiscaux séduisants dans le cadre des transmissions à titre gratuit (donations et successions). Les parts de Groupement Foncier Viticole bénéficient suivant certaines conditions d’un abattement sur la valeur à déclarer pour l’IFI (impôt sur la fortune immobilière).

GFV, une solution de diversification défensive

Investir dans un Groupement Foncier Viticole à long terme peut constituer une protection du patrimoine. Sa valorisation s’apprécie suivant évolution des valeurs foncières moyennes dans l’appellation considérée mais aussi par la propre évolution du domaine (développement de la surface en production, accroissement de la notoriété…). Ce placement procure, par sa longévité, une bonne protection du capital tout en laissant entrevoir des perspectives de valorisation significatives.

Percevoir des revenus en vin (ou en numéraire)

La rentabilité dépendra principalement de l’appellation et de la valorisation de celle-ci. Le rendement est calculé à partir du tarif préfectoral en vigueur (exemple en Côte-d’Or). Donc plus l’appellation est prestigieuse moins le rendement sera élevé. D’une manière générale, les appellations prestigieuse offrent une très bonne protection patrimoniale (mais une rentabilité plus faible). Les revenus varient d’environ 1 à 4 %, des taux souvent comparables aux produits traditionnels de placement à long terme.

La dotation (le fermage) est en général versé au moment de l’assemblée générale tenue en fin de 1er semestre de chaque année civile. L’associé à cette occasion peut disposer des bouteilles correspondant à la proportion de parts qu’il détient. Sur option suivant le Groupement Foncier Viticole, il pourra demander que le fermage lui soit versé en numéraire.

Écarter tout risque lié à l’exploitation du domaine

C’est l’exploitant fermier qui, seul, supporte les risques liés à la production et à la commercialisation des vins du domaine. Ainsi, qu’il pleuve, qu’il gèle ou qu’il grêle, le fermier devra acquitter son loyer au GFV (modulation possible en cas d’aléas climatiques).
Le secteur viticole haut de gamme bénéficie d’une forte croissance depuis les années 90.
De nouvelles et attrayantes opérations de constitution de groupements voient le jour dans ce contexte de marché porteur. Il est aussi possible de s’intéresser aux opportunités que constituent les parts rares mises en vente sur le marché secondaire.